La chute de la civilisation et le monde occidental

 

Aucun holocauste n'est inévitable, aucune chute de la civilisation n'est irrémédiable. Nous allons commencer par le génocide par substitution des blancs et nous nous dirigerons vers la chute de la civilisation qui est un échec des capacités intellectuelles sous jacente au contrôle de l’étant doublée d’une condamnation morale de ce contrôle, condamnation incapable d’entrevoir la véritable nature du rapport de l’étant d’avec l’être de l’étant en prétendant précisément l’avoir discerné, en prétendant l’avoir différencié, en prétendant l’avoir éclairé et remonté de son abîme d’oubli. Notons que ceux qui percevront mes idées comme étant d'extrême droite auront été conditionnés, éduqués pour penser qu'elles sont d'extrême droite. Ce qu'elles ne sont pas. C'est précisément ce conditionnement que je dénonce comme manifestation du nihilisme entre autre gauchiste 
 
Ce qui arrive à l’ethnie blanche est une tragédie silencieuse, bercée dans les ténèbres de l’inconscience et plongée dans les abimes de la perception faussée de sa fausse puissance blanche. L’avenir est à ceux qui se reproduisent et les blancs ne se reproduisent pas ; il est clair que cette épiphanie ultra temporelle, inscrite dans un contexte historique ultra contextuel, périmé et évanescent doit servir de leçon pour les générations futures : ce qui arrive aux blancs est une leçon de morale pour l’humanité toute entière et pour l’humanité future : l'humanité indienne, l'humanité chinoise, l'humanité indonésienne, l'humanité asiatique, l'humanité africaine, l'humanité latine. Par cet acte je rends hommage à ces humanités et je dis adieu à l'humanité blanche en espérant que cet adieu servira de leçon pour toutes les humanités. Si vous en doutez, remplacez dans mon discours le mot « blanc »par le mot noir, asiatique, chinois, indien, africain, latin etc. et vous obtiendrez un discours à la gloire de chaque civilisation : vous comprendrez ainsi pourquoi le génocide par substitution des blancs est une leçon bienveillante pour toute l'humanité, une gloire et un hommage pour toutes les civilisations. L’intelligence doit vaincre et la médiocrité s’anéantir. La médiocrité triomphera, l’intelligence perdra ; tel est le destin de l’humanité. Le pessimisme de Schopenhauer triomphera. 
 
A mon époque, l'ensemble de l'humanité se dirigeait vers l'extinction possible de certaines de ses variantes ; la natalité faible et l'immigration permissive ont peu à peu participé à l'asphyxie inconsciente, latente des peuples autochtones d'occident. Ces peuples étaient en train de mourir. Et les populations occidentales étaient remplacées par de nouvelles populations immigrées. Ce phénomène s'appelle le génocide par substitution. Les blancs étaient en train de s’éteindre. L’ethnie blanche se dirigeait vers son auto- holocauste saisi comme sacrifice, sacrifice de ses potentialités, et enfin accomplissement de son anéantissement final par dénatalité. Et personne ne soupçonnait l’acheminement véridique de ces propos. Le voilà le grand holocauste. La voilà la grande injustice. 
 
Pendant longtemps les intentions louables de l’antiracisme ont participé au génocide par substitution des blancs en les empêchant de former leur identité propre et de faire naître en eux un désir unitaire de groupe mutuellement consenti. Les blancs ont alors été sacrifiés en holocauste à l’autel de la tolérance molle. Grâce à l’antiracisme -et par un processus inconscient- les ethnies non blanches essayent d’assurer les intérêts racistes et avides de revanche de leurs groupes afin d’éliminer les blancs du pouvoir, d’éliminer les blancs tout court et de les culpabiliser, les anéantir au nom d’une pseudo morale. En réalité l’antiracisme véhicule bien souvent la haine fanatique de l’occident et des blancs. C’est l’une des premières fois dans l’histoire humaine que la morale de l’altruisme est utilisée à un tel degré comme moyen d’anéantissement et de génocide silencieux, inconscient, non dit, culpabilisant. En fait la morale de l’altruisme a toujours participé au mal et à la médiocrité. C’est donc en utilisant la morale antiraciste mielleuse de mon temps qu’on participe à la médiocrité de l’espèce humaine. Et c’est donc en utilisant l’antiracisme que l’on assure des intérêts racistes. Et puisque les ethnies non blanches savent utiliser la perversion, les blancs n’ont aucune obligation morale -absolument aucune- à être vertueux. Est ce là un second degré ? C’est une chose bien étrange de savoir que le bien réel est normativement entièrement fondé sur le mal apparent c’est à dire que l’hédonisme universaliste repose tout entier sur l’hédonisme égoïste. A condition de savoir que l’utilité commune ne repose pas sur l’intérêt hasardeux de n’importe quel intérêt particulier tout en reposant paradoxalement et simultanément sur l’ensemble des intérêts particuliers. C’est l’éternelle sagesse du capitalisme et de l’individualisme méthodologique.  
 
Nous ne voyons donc rien d’autre dans l’antiracisme que l’affirmation pseudo-morale de l’hégémonie de son ethnie. Et la seule manière de combattre l’antiracisme est l’antiracisme : retourner les armes de l’abjection contre elle-même. Utiliser contre la perversion une autre perversion. En conséquence un blanc qui se reproduit massivement et essaye d’anéantir par de multiples manières un maximum de non-blancs ne fait que réaliser que tous les non-blancs portent en eux les germes du racisme. En conséquence, celui qui tue les non blancs lutte contre de sales racistes. Ensemble luttons contre le racisme. Mes propos sont-ils à prendre au second degré ? 
 
Il n y a aucune ironie dans mes propos. Juste l’espoir d’un monde meilleur pour les enfants blancs de demain. Juste la volonté de protéger nos enfants blancs de la haine des tolérants et des antiracistes... C'est à dire de la haine des véritables racistes. Mais est ce que l’ironie consiste à dire qu’il n y en a pas ? C'est parce que j'affirme qu'il n y a pas de second degré qu'il y en a bel et bien un. 
 
Il dit : « Le projet du génome humain a révélé que ce que les gens considèrent comme des différences raciales ne constitue que 0,01 �es 35 000 gènes estimés qui constituent le corps ». La différence génétique minime change un être entier et fait la différence entre l'intelligence et la bêtise. Sache que l'étant ne prospère que par un avènement discret de son être. Et le méchant raciste, qui ne l'est pas vraiment, le damné de la terre, le détesté, le haï dit : Gloire éternelle et immuable à la nation blanche, et l'on définira toujours le racisme de façon qu'il ait toujours tort : le racisme a tort même lorsqu'il a raison. L'antiracisme a raison même lorsqu'il a tort... Alors que les crypto-racistes définiront toujours le racisme de manière à ce qu'il ait toujours raison : L'antiracisme a tort même lorsqu'il a raison, le racisme a raison même lorsqu'il a tort. Si être un homme de couleur consiste à être un homme blanc, je suis fier d'être un homme de couleur. Le véritable racisme est l'antiracisme, c'est à dire le racisme officiel, le racisme d'état, et c'est bien pour cela que je suis le seul véritable dénonciateur de l'abjection morale des hommes. L'abjection même de ce que l'on fait au nom de la morale. 
 
...Et les pires racistes anti blancs sont parfois les blancs eux mêmes qui dénigrent leur propre ethnie, leur propre identité, leur propre culture, leur propre civilisation, leur propre noblesse, leur propre grandeur pour faire miroiter une autocritique culpabilisante, auto destructrice et arriver ainsi au firmament de l'abjection antiraciste. Le seul remède à l’abjection est l’abjection. Bien au delà de l'image fausse et insupportable du blanc dominateur et oppresseur, le blanc est en réalité soumis parce qu'il est le seul à accepter la critique et parce qu'il est trop tolérant, trop universaliste ; il se refuse à se constituer en tant que nation blanche, lui qui a subi l'esclavage des « arabes » musulmans durant trois siècles sur les rives de la méditerranée de 1500 à 1800, un million de blancs défilant nus et humiliés, lui qui a été l'esclave des noirs (voir le livre « quand les noirs avaient des esclaves blancs » de Serge Bilé), il se croit dominateur alors qu'il a été objectivement l'une des plus grandes victimes de l'abjection humaine et l'un des plus universalistes des civilisateurs. Et là est tout le problème : les autres méritaient-ils seulement qu'on les civilise ? L'ironie est toujours permise, j'espère. 
 
Quelque soit la relation entre la nation blanche et les nations non blanches, quelque soit la relation entre l'occident et l'orient, l'orient s'arrangera toujours pour faire passer sa relation avec l'occident comme une colonisation et une agression de la part de ce dernier et comptera sur celui-ci pour qu'il s'en culpabilise : c'est exactement ce que l'on fait vis à vis de la nation blanche : on la culpabilise en la faisant passer pour raciste alors que le racisme abjecte consiste justement à faire passer la nation blanche comme raciste et immorale, elle qui a toujours véhiculé le gout de la liberté et du droit universellement valide de discriminer sous réserve des droits de propriété et du respect des droits fondamentaux. C'est que nous faisons ici appel à une théorie du droit bien plus cohérente que celle qui instaure des délits d'opinion contextuels. Cette théorie du droit s'appelle : la droit naturel anarchocapitaliste. 
 
L'antiracisme a instauré un système de terreur instrumentalisé par la gauche et les futurs majorités ethniques pour stigmatiser systématiquement de manière raciste l'homme blanc et le faire culpabiliser. C'est en effet toujours l'homme blanc qui doit s'excuser, les autres civilisations et ethnies ont l'âme pure et n'ont jamais de sang sur les mains. Parallèlement la définition du racisme, s'est associée brutalement à la notion de discrimination alors que chaque choix de notre vie est intrinsèquement discriminatoire au sens où choisir un partenaire de reproduction c'est déjà discriminer alors même que le droit de discriminer est un droit réciproque qui découle naturellement de la propriété de soi, de son corps et de ses biens. Un droit réciproque dans le sens même où si un violet me discrimine, moi aussi à mon tour j'ai le droit de le discriminer tout en respectant ses droits de propriété, propriété de soi, de son corps et de ses biens. De plus la définition du racisme s'est systématiquement élargie au point où il n'est pas possible pour un blanc d'agir socialement sans être confronté à la terreur proto-totalitaire, ce dernier élément de l'antiracisme connait en effet son suprême et terrifiant triomphe lorsqu'il réussit à priver l'homme blanc de l'issue individualiste et à rendre absolument problématiques et équivoques toutes les décisions de sa conscience identitaire.  
 
Le but avoué de ce système de terreur est d'empêcher l'émergence d'une identité blanche et occidentale et d'instaurer un système génocidaire qui agit lentement mais certainement en remplaçant au moyen de l'immigration une population blanche par une population immigrée : ce système antiraciste est purement et simplement d'inspiration nazie de par son génocide latent et de par la terreur idéologique qu'il instaure pour finir par faire ainsi des blancs des idiots utiles à leur propre génocide, à leur propre holocauste, à leur propre extinction, à leur pure et simple annihilation. Utilisons en effet l'épouvantail nazi comme les anti racistes, les pourritures gauchistes et les futurs majorités ethniques l'utilisent et allons plus loin encore... Faisons les choses comme eux les font. Les blancs sont littéralement colonisés par des populations immigrées. L'extinction de la Nation Blanche est l'un des plus grands évènements du vingt et unième siècle. 
 
L'un des signes qui démontreront que ces lignes sont véridiques est que mes écrits seront présentés comme pleinement racistes tout en affirmant que le racisme anti-blanc est instrumentalisé par l'extrême droite... L'expression même d' « extrême droite » est un anti-concept normatif relativiste et subjectiviste, visant à jeter l'opprobre sur les défenseurs de la liberté puisque la norme objective et universellement valide peut effectivement sembler extrême. Vous même en pensant que mes écrits sont réellement racistes vous démontrerez que vous avez été endoctriné, conditionné, complètement manipulé dans votre univers culturel au mode de pensée protototalitaire de l'antiracisme. Aujourd'hui c'est à mon tour de dire que chaque personne qui se consacre à l'antiracisme avec militantisme est un assassin de l'espèce humaine, un nazillon de la pire espèce, un excrément de la culture occidentale. Entendons nous bien, l'anti-racisme poussé jusqu'aux limites ultimes -ultimes- de sa pensée protototalitaire est un nazisme complètement inversé mais qui garde en lui une partie de l'essence du nazisme c'est à dire la violation du droit naturel et la capacité de rendre toute critique de sa doctrine impossible en mentant aux masses populaires sur la nature finalement raciste de l'antiracisme... Puisque, de manière cachée et inconsciente, il s'agit d'assurer l'intérêt de tous à l'exception des blancs, c'est à dire de discriminer cette fois ci illégitimement les blancs en violant le droit fondamental au moyen de l'immigration génocidaire et en les culpabilisant. On retrouve d'ailleurs chez les génocidaires de blancs la banalité du mal puisque l'holocauste de la nation blanche s'accomplit dans l'indifférence et la résignation totale. Quand les blancs seront minoritaires sur leur propre terre d'origine alors rien ne pourra empêcher que les allogènes, au moyen des sophismes de la démocratie sociale et de l'argument de la repentance collective, invitent la nation blanche à entrer dans des chambres à gaz ou à se faire massacrer à coups de machettes. Ce texte est entièrement en accord avec la théorie du droit naturel libertarien puisque l'immigration instaurée par les hommes de l 'état ainsi que le concept nul et non avenu de propriété publique des rues et du territoire viole la propriété et le droit naturel et imprescriptible des blancs de toutes générations qui vivent sur leurs propriétés et qui ont refusé durant plusieurs générations de voir se réaliser ce qui consiste en une définition objective de l'invasion de populations immigrées en Occident. (Cf Hans Hermann Hoppe, pour le libre échange et une immigration limitée.) L'emploi du terme de « nation blanche » ne concerne que les gens qui reconnaissent en faire partie c'est à dire aussi qui prennent conscience qu'ils ont une identité blanche. En vertu du droit des individus à choisir le groupe auquel ils s'identifient ainsi que du droit de chaque individu de ce groupe de décider si oui ou non tel individu en fera parti, l'usage du terme « nation » compris en tant que tel s'accorde avec l'essence de la théorie du droit libéral et anarcho-capitaliste. La Nation Blanche se présente alors comme un groupe humain solidaire et pacifique, auquel l'on peut adhérer librement et dont l'adhésion est régie par un contrat librement consenti au prés de deux partis contractants. L'usage de l'expression « nation blanche » n'a en outre rien de raciste puisqu'il n'existe pas d'autres termes simples et sans fioritures pour désigner l'ensemble des autochtones d'Occident que le terme « blanc ». 
 
Bien de « non blancs » et des gauchistes peuvent se sentir agressés par mon propos. Et je le regrette. Il n’est nullement dans mon intention, pas plus que dans celle du Mouvement de la Doctrine Universelle, de suggérer une culpabilité collective. Cependant, le fait de se sentir ainsi agressés ne révèle-t-il pas un problème ? Le problème pourtant réel, bel et bien existant historiquement, de ceux qui sont avides de vengeance et de revanche vis à vis de l'occident, le problème pourtant réel de l'oppression future et passée des blancs, qui ont été esclaves comme beaucoup d'autres nations... Même si les blancs ne se sentent pas pour l'instant agressés parce qu'on leur apprend justement à courber l'échine, à ne pas se sentir agressés, à oublier leur passé d'esclaves, à rendre ridicule le fait qu'ils aient été opprimés, à rendre ridicule le fait qu'ils aient été esclaves. Le blanc est fort, le blanc est riche, le blanc est oppresseur, le blanc opprime les pauvres populations du reste du monde, c'est bien simple quoi que fasse le blanc ou le méchant capitaliste, il est responsable de tout et son contraire. Les non blancs se reproduisent massivement, de manière frénétique, et inconsciemment pour remplacer les populations blanches et se substituer à elles, toujours de manière inconsciente et latente, sur les terres occidentales, comme me l'a un jour confié un Turc qui voulait, en faisant des enfants, remplacer la population allemande par son peuple, : ils nient l'Autre, ils nient l'humanité qu'il y a en l'Autre, ils nient l'humanité des blancs tout en faisant semblant de la reconnaître ; en conséquence il y a chez le non blanc un danger raciste et il nous faut enfin libérer la nation blanche du joug de la terreur proto-totalitaire pour l'accomplissement ultime du nihilisme de la vie : l'accomplissement final de la Doctrine Universelle. 
 
Passons maintenant au véritable sujet qui nous occupe : qu'est ce qui anime véritablement le devenir profond de la nation blanche partout dans le monde, quel est l'objectif de la nation blanche ? Sans nul doutes on peut affirmer que l'humanité blanche a un but pacifique universel et universaliste né avec la nation grecque, celte et germanique, par là on peut prouver avec Edmund Husserl que « l'humanité européenne porte en soi une idée absolue au lieu d'être un simple type anthropologique comme la Chine ou l'Inde; et décider du même coup si le spectacle de l'européisation de toutes les humanités étrangères annonce en soi la vaillance d'un sens absolu, relevant du sens du monde et non d'un historique non-sens de ce même monde » (Husserl, Krisis, § 6.) Le devenir téléologique de l'occident et de la nation blanche est animé par deux moteurs fondamentaux : le gout et le sens de la liberté pour tous et le dépassement de la raison humaine par la raison humaine vers l'accomplissement du nihilisme de la vie. Le nihilisme est paradoxalement l’entéléchie vers laquelle on se dirige et la négation du nihilisme n’est que son accomplissement le plus ultime. 
 
Ma philosophie est la première de l'histoire humaine qui s'affirme comme un nihilisme parce qu'elle est la première de l'histoire humaine qui a compris que n'importe quel choix idéologique de l'espèce humaine conduit intrinsèquement au nihilisme c'est à dire à s'assigner une téléologie dont la justification s'épuise à finalement affirmer qu'elle n'existe que pour elle même : se diriger vers l'existence mais pourquoi ? Exister pour exister, être moral pour être moral, s'assigner un télos pour le télos lui même, être le maître de l'existence pour être le maître de l'existence, renoncer à être le maître de l'existence pour renoncer à l'existence. Et finalement se donner un but pour l'existence mais pourquoi ? Pour le but lui même : le but n'existant que pour lui même. La téléologie tombe en effet nécessairement dans la tautologie, ce qui ne veut surtout pas dire qu'il faut abandonner toute téléologie mais simplement admettre qu'elle est une forme de nihilisme, il faut alors choisir la bonne téléologie pour choisir le bon nihilisme. Cela étant dit le nihilisme est aussi ce qui veut éviter toute téléologie, toute entéléchie ou ce qui s'achemine vers une entéléchie abjecte. Il y a donc le bon nihilisme et le mauvais nihilisme qui est le nihilisme gauchiste, le nihilisme de la contradiction performative fondamentale. Et le mauvais nihilisme est le nihilisme abjecte, authentique et véritable en tant que tel. 
 
Le vingtième siècle aura vu une profusion d'intellectuels et de dégénérés gauchistes dans le monde occidental, le résultat pour les siècles suivants est malheureusement connu : lente asphyxie du capitalisme, extinction de la variante blanche de l'espèce humaine, immigration génocidaire et incontrôlée, dénatalité inquiétante des blancs, chute et dégénérescence de la civilisation. Ces idées abjectes et nauséabondes ont vu naître le triomphe et la dégénérescence de l'humanisme occidental, le seul humanisme qui ait véritablement existé. 
 
Ce que l'humanité ne mesure pas et qu'elle ne mesurera jamais si elle s'engouffre encore dans le nihilisme gauchiste actuel c'est l'étendue des conséquences de l'extinction des blancs et d'autres variantes de l'espèce humaine qui à termes produiront l'extinction de potentialités chez l'espèce humaine et l'eutrophisation progressive des compétences intellectuelles, techniques et technologiques de la race humaine. Cette constatation n'est pas raciste, puisqu'il ne s'agit pas de dire que la nation blanche possède des capacités supérieures, mais qu'elle possède en elle, comme dans toute nation, des trésors pour l'humanité que l'on ne reverra jamais lorsque l'holocauste et le génocide par substitution seront accomplis. Là encore, lorsque nous utilisons le terme « holocauste », nous ne parlons pas de l'holocauste au sens de l'holocauste des juifs mais nous parlons de la nation blanche offerte en sacrifice et à l'extinction pour l'humanisme occidental qui a complètement dégénéré en un antiracisme et un anti-libéralisme nauséabonds. Si alors nous acceptons l'extinction des blancs et de certains asiatiques de l'extrême orient, nous devons immédiatement prévenir les générations futures de la catastrophe de la régression des capacités intellectuelles de notre espèce causée entièrement par l'esprit de cette extinction et édifier l'eugénisme et la civilisation contre les nihilistes gauchistes, ceux là mêmes qui prétendent dénoncer le nihilisme et sauver l'humanité en déversant leurs abjections contre la technique et le capitalisme. C'est très certainement les médiocres qui gagneront la vie. Et c'est là l'univers cauchemardesque de la chute de la civilisation. 
 
Voilà la désolante vérité tout à fait caricaturale de mon temps : nous vivons dans des sociétés humaines où les meilleurs de l’espèce, les plus intelligents ne sont pas forcément ceux qui se reproduisent le plus. Et cela n'a rien avoir avec la fertilité des blancs ou des non blancs. Les structures de la civilisation ne permettent pas l’amélioration organique de l’espèce humaine. Par structure, nous désignons l’ensemble des coutumes pratiques d’une civilisation. Nous désignons l’intelligence comme critère ultime de la sélection eugénique multi-ethnique parce qu’elle est ce par quoi l’ensemble de la volonté de vivre de l’espèce humaine se réalise de manière optimale. L’intelligence humaine est en perdition. La victoire est à la médiocrité humaine. Réjouissez vous de la médiocrité que vous avez répandu, instauré, légalisé et de la dégénérescence de la civilisation dont vous êtes responsables. 
 
Les structures actuelles de la civilisation font que les meilleurs intellectuellement ne se reproduisent pas en abondance et les médiocres se reproduisent de manière frénétique et incontrôlée soutenus par le progrès de la civilisation et l'abolition de la famine grâce au système capitaliste c'est à dire finalement à l'économie de marché qui conditionne, autant que faire ce peu et selon le contexte matériel et historique, l'élévation du niveau de vie de chaque nation et de chaque civilisation. Ce qui n'exclut pas un retour potentiel à la famine. Il y a donc une diminution de ceux qui sont responsables des progrès matériels, scientifiques et techniques de la civilisation tandis que des idiots fertiles et abondants profitent des fruits du travail productif intellectuel bien plus précieux que tout autre venant des médiocres. Les intelligents sont en voie d'extinction, les médiocres, sont en voie d'expansion : la situation de notre planète est catastrophique à toutes les échelles où l'intellect peut s'exercer : environnement, écologie, gestion, révolution technique et technologique, révolution scientifique, révolution philosophique, démographie, santé : protection de la planète, utilisation de la planète, dépassement de la planète 
 
L'intelligence eugénique non coercitive et non raciste est le fondement de la préservation de la civilisation, de notre planète. Ensemble Vomissons la purulence qui attaquera ces lignes véridiques. 
 
Nous approchons d'une régression majeure de l'évolution de notre espèce vers la médiocrité des potentialités intellectuelles de notre espèce ; le processus de l'évolution de notre espèce est soumis à une contingence historique où l'espèce humaine est en train de s'annihiler par la destruction et la haine gauchiste de l'eugénisme non coercitif et non raciste. 
 
Le messie est celui qui sauvera le monde de sa chute par l'étendard de la doctrine universelle. Voilà le messie ultime. Le seul espoir dans un monde où la volonté de vivre semble elle même cesser de vivre par absence d'eugénisme, eugénisme comme fondement de l'accroissement exponentiel et non coercitif du pouvoir de la volonté de vivre, cette volonté de vivre qui nous fait bruler de désir de conquérir tout l'univers astrophysique pour devenir les surhommes de l'univers, l'homme dépassé, transfiguré, transformé maitrisant la matière et l'énergie et capable de l'emmener jusqu'au firmament, au coeur avide de grandeur de la civilisation humaine. L'homme absolu. 
 
Les morales gauchistes engluées de pseudo-humanisme mielleux et qui s’opposeront à ces lignes puissantes et véridiques seront la destruction de l’espèce humaine. La destruction qui se prétend protectrice. La civilisation a engendré la voie de sa propre extinction en favorisant le règne organique, abjecte et nauséeux de la médiocrité mentale et en dénonçant comme abjectes ceux qui le constataient. Et personne ne mesure encore à l'instant l'acheminement véridique de ces propos ni la catastrophe latente, imperceptible et lente qui se prépare. 
 
Ce n’est pas seulement l’espèce humaine qui est concernée par la chute de la civilisation, c’est la nature toute entière. Ceci n’a rien à voir avec une énième critique nauséeuse du capitalisme, ceci est plutôt la dénonciation du fait que nous n’exploitons pas au contraire toutes les possibilités infinies du capitalisme. C’est parce que l’homme ne prévoit pas les impasses intellectuelles de ses choix économiques lors de la direction de son entreprise que la nature est en perdition et c’est aussi par la médiocrité de l’intelligence que l’homme ne réalise pas un monde économique sur la voie de l’excellence : le développement économique peut être aussi lié au développement de la technique et la technique humaine est une détermination bonne ou mauvaise de la nature qui dépend du degré de l’intelligence qui a contribué à son élaboration, la nature étant la main qui nourrit le fonctionnement de la technique, il n’est pas intelligent de la supprimer ni de lui nuire : il est dans l’intérêt de celui qui veut continuer à vendre le bois des arbres de voir ces derniers abonder et non se raréfier, il est donc dans l’intérêt de celui qui vend des arbres de les planter. Seulement l’homme ne saisit pas forcément son intérêt et l’intelligence est fondamentale pour le saisir. Il dévaste alors la forêt sans replanter d'arbres. Nous n’affirmons pas que l’intérêt économique coïncide forcément avec l’intérêt de la nature, nous affirmons que la technique ne doit pas mordre la main qui la nourrit pour préserver ce qui rend possible la civilisation. 
 
Il arrivera peut être un jour où la technique ne présupposera pas la consommation et le renouvellement artificiel de la nature. Il faudra alors respecter la nature pour ce qu'elle est et ne pas réagir par des actes -sauf pour nous protéger- à son anéantissement naturel et à la désintégration de l'univers ou à sa conservation indéfinie. 
 
Si maintenant nous acceptons l'extinction de certaines espèces animales et l'amenuisement de la vie, l'eutrophisation et la destruction générale de la nature, parce qu'il y a une chute du degré d'intelligence dans l'élaboration proprement capitaliste et technique de l'existant, nous ne pouvons le faire qu'en prévision d'une résurgence future du foisonnement de la vie et de son intelligence créatrice. En attendant nous nous dirigeons tout droit vers la chute de l'intelligence et de la civilisation. Il ne restera alors que des décérébrés pour danser autour du feu de l'extinction. 
 
Une chute du degré d'intelligence dans l'élaboration proprement capitaliste et technique de l'existant conduit à la chute de la civilisation mais cette chute ne s'accomplit absolument pas par le capitalisme et la technique en eux mêmes qui sont une accentuation de la nature intime, spontané et éthique de la vie et sont la réalisation contre-nihiliste du nihilisme réalisée par l'abandon -finalement vide et fataliste- du contrôle de l'existant lors du mépris paradoxal de l'étant au profit de l'être de l'étant parce que précisément l'on ne mesure pas la nouvelle appréhension de l'être de l'étant qui apparait lors de la transformation technique de l'existant, le premier des existants pour l'homme étant l'homme : la pleine transformation éthique de l'homme étant l'eugénisme : l'eugénisme libéral.  
 
Le nihilisme authentique et abjecte pleinement réalisé par les délires anticapitalistes et anti-techniques supprime toute téléologie : il relève d'un relent d'idéal ascétique qui refuse l'acheminement fantasmagorique de la civilisation vers un autre univers de l'intelligence et de la technique : Précisément le dépassement du contrôle de l'existant ne s'accomplit que par l'accentuation de la nature intime de la vie qui justement réside dans le contrôle technicisé de cet existant, la nature intime de la vie qui objective l’être en étant et l’étant en être -objectivation qui est déjà la nature intime de la vie- et les rend indiscernables alors qu’eux-mêmes sont engagés dans un processus d’indiscernabilité spontané et intrinsèque. 
 
L'extinction des facultés intellectuelles chez l'ensemble des variantes de l'espèce humaine conduit justement à la chute finale du capitalisme et de la technique réalisé par l'esprit nihiliste de cette extinction. L'intelligence doit s'exercer dans deux domaines pour éviter la chute de la civilisation. Le premier domaine est éthique. Le second est technique. 
 
Il n'y a de technique que par l'élaboration non gauchisante du droit naturel. Inversement le support de la réalisation morale de l'humanité ne s'accomplit que par le développement de la technique dans le sens où cette dernière la facilite précisément lorsque la technique est délimitée par l'éthique proprement non gauchisée. Mais que signifie une éthique non gauchisée ? L'éthique minimale. La fin de toute structure étatique classique et l'abandon de tout altruisme sacrificiel. La réalisation du combat de la vie : l'amélioration de la volonté de vivre réalisé doublement par un allègement des contraintes de la morale et un allègement des contraintes sauvages de la nature. Or l'allégement des contraintes sauvages de la nature suppose une éthique où précisément l'eugénisme ne s'accomplit pas par la barbarie. Inversement l'allègement des contraintes morales signifie l'acceptation pleinement rationnelle de la réalisation de l'ex-position qui est une réalisation "altruiste" du combat de la vie : je n'accepte l'eugénisme, la technique et le capitalisme qu'en tant que je désire le meilleur pour l'espèce humaine. Et je ne suis pas le meilleur de l'espèce humaine. ET ceux que j'aime ne sont pas les meilleurs de l'espèce humaine. 
 
Suis-je un monstre ? Personne ne mesurera jamais à quel point ces quelques idées étaient salutaire pour notre espèce. TOUTE l'humanité. Et personne ne réalise encore que la doctrine universelle est la destruction ultime de la bienséance philosophique et gauchiste de l'occident. Finalement la destruction de la bienséance bien-pensante de toutes les civilisations. 
 
Voici maintenant un exemple dont la chute de la civilisation se réalise : 
 
Perte et gaspillage des matières premières (Raréfaction du bois, du métal, du pétrole et de tout ce qui en dérive), impossibilité de fabriquer les produits qui en résultent, inutilité du savoir technique de fabrication de ces produits et perte consécutive à cette inutilité, abandon des investissement et délabrement du capital , suppression des emplois concernés, apparition du chômage, suppression de la nécessité de cette activité , suppression des bienfaits économiques qui en résultent, chute de la consommation des produits qui reposaient sur telle tout elle matière première, incapacité de l’intelligence humaine à résoudre certaines apories techniques et technologiques, manque de créativité en raison de l'affaiblissement des capacités intellectuelles de l'humanité. 
 
On peut ainsi être confronté dans l’absolu à grand nombre de bouches à nourrir et à une impossibilité de trouver une activité productive efficace pour les nourrir. L’accroissement des populations n’est possible que par rapport aux ressources nécessaires à cet accroissement. La famine se déclare. Apparaît alors en raison d'une crise économique sans précédent l’impossibilité de fabriquer du bon matériel médical entrainant la perte de la qualité des soins et l’expansion éventuelle des maladies. Les produits de l’hygiène se raréfient consécutivement. Les maladies et les pandémies apparaissent. 
 
Face à la chute de la civilisation en sa matière, il y a la chute de la connaissance, de l’intelligence et des arts. Par exemple l’art du cinéma n’est possible que par une technique et une technologie de cinéma, l’activité de philosopher est plus facile dans de bonnes conditions matérielles et techniques, la science et la connaissance ne peuvent avancer et se maintenir que par la disponibilité des hommes, leur activité pour vivre, les moyens techniques et la finalité de leurs recherches, les supports de la transmission de la connaissance et leur transmission professionnelle : y aurait-il encore un enseignement efficace sans civilisation matérielle ? 
 
Répétition : La chute de la civilisation c'est la chute de l'intelligence qui précède le mépris philosophique de l'existant et qui achemine la chute du capitalisme et de la technique devenue bouc émissaire des abjectes. 
 
Ce n'est évidemment pas le contrôle de l'existant en lui même qui entraine la chute de la civilisation, c'est la médiocrité intellectuelle de ce contrôle qui n'a été possible que par le frein philosophique du déploiement des potentialités de l'homme face à l'existant dont la manifestation en philosophie générale est l'inachèvement de la métaphysique qui a éludé son aboutissement en place de l'homme et en mutation dans cette place face à la totalité existante, la totalité ayant été mal comprise, la place de l'homme ayant été avortée, l'aventure ontique de l'homme ayant été assassinée avant l'achèvement de ses potentialités fantasmagoriques. 
 
La pourriture intellectuelle de la philosophie générale consiste dans l'abandon de la vieille métaphysique d'inspiration aristotélicienne. L'on a décrété le dépassement de la métaphysique beaucoup trop tôt. Or cette métaphysique était inachevée et l'on pouvait résoudre par la rationalité a priori beaucoup de problèmes concernant notre connaissance de la totalité des existants. Bien plus qu'une ontologie fondamentale d'un certain type, l'homme a de ceci particulier que l'existant -la réalité objective- ne cesse de l'interroger. La venue de l'être de l'étant s'accomplit par cette interrogation ET par l'inversion de cette interrogation dont la conséquence est le développement ultime de la technique. 
 
Précisément l'inachèvement de la métaphysique -son dépassement prématuré- est le miroir de l'abandon prématuré et absolument nihiliste de la technique -technique que l'on ne dépassera jamais du fait de la chute de la civilisation puisqu'il faut comprendre que cet abandon prématuré est aussi du au fait de la dégradation intellectuelle puis éthique qui permet l'engendrement de la technique. 
 
L’Etant est tout ce qui est ceci ou cela c’est à dire ce qui est, ce qui a de l’être sans coïncider avec la totalité de ce dernier. Etre est un mot pourvu de sens. Penser un mot pourvu de sens c'est utiliser d'autres mots pourvu de sens, utiliser des mots pourvus de sens, c'est finalement se référer à quelques chose, se référer à quelque chose c'est surtout se référer à un existant. Se référer à l'existant c'est être irrémédiablement obligé de le penser. 
 
Et si -malgré tout- nous disons "quand même nous pensons l'être" alors cela signifie "quand même nous pensons l'existant". Et irrémédiablement, on ne peut nier cette identité sans se couper du réel et devenir un mystique, un schizophrène -dans un sens très mauvais-. Si maintenant nous disons "utiliser des mots pourvus de sens, ce n'est pas se référer -dans notre cas- à quelque chose". 
Nous répondons à la manière platonico-aristotélicienne (discursive-démonstrative) :  
 
"-Niez vous l'être de l'étant ? 
-non 
-Alors vous ne niez pas l'être de l'existant ? 
-effectivement 
- Communiquez-vous l'être de l'existant par des mots pourvus de sens ? 
-oui 
-Donc l'être dans vos mots devient un mot-étant. 
-oui 
- Reconnaissez-vous alors que chaque mot-étant pourvu de sens s'exprime par d'autres mot-étants pourvu de sens ?  
-oui 
- Avez-vous admis que l'être de l'existant devient par votre langue un mot-étant pourvu de sens exprimé par des mots pourvus de sens ?  
-oui 
-Admettez vous qu'un mot-étant puisse se référer à un existant ? 
-oui 
-Admettez vous que si un mot-étant se réfère à un existant, l'ensemble des mots pourvus de sens qui expriment votre mot-étant se réfèrent à un quelque chose de l'existant et de son monde ? 
-oui 
-Admettez vous que si vous voyez une situation référante à vos mots pourvus de sens, vous ne voyez dans cette situation référante que des existants apparaissant ou non apparaissant-en définitive- ? 
-oui 
-Reconnaissez vous enfin que votre mot-étant "être" s'exprime par des mots pourvus de sens qui se réfèrent en définitive à une situation de l'existant qui elle même n'implique rien d'autre que de l'existant ? 
-oui 
 
Cette situation reférante à ce qui est c’est à dire la constatation des existants ou des étants auxquels une phrase pourvue de sens se réfère, nous l’appelons l’équivalence ontique de l’être. L'être se réfère à quelque chose. Et l'être se réfère au réel. C'est sa fonction primitive. Car je pointe du doigt, je désigne, en disant  « il est ceci ou cela ». Et ce faisant je désigne un étant. 
 
Prenons l’exemple de la couleur ; lorsque je dis « cet objet est bleu ». J’utilise le verbe être pour désigner rien d’autre que de l’existant puisque la couleur est un composé de l'étant (la lumière) qui lie un étant (mon oeil) à un autre étant (l'objet perçu qui renvoit la lumière). Au final il n’y a que de l’étant. Vouloir déplorer cet état de fait c’est déplorer la réalité objective et lorsqu’il ne prend pas en compte la réalité objective, l’homme devient schizophrène, il devient une ombre d’homme, un fantôme d’homme. 
 
Mais le fait que l'être n'apparait pas dans la situation référante signifie justement qu'il faut privilégier l'existant. Parce que ce n'est pas l'être qui disparait au profit de l'existant, c'est précisément l'être qui s'objective en existant tout comme sans vous en rendre compte -dans votre langage- vous avez objectivé "est" en "être" c'est à dire l'être en mot-étant. Autrement dit nous n'avons AUCUN AUTRE MOYEN d'appréhender l'être autrement que par l'étant et l'étant autrement que par l'existant et l'existant autrement que par la notion de réel. Et le réel est objectif. Ainsi sachez que la différence ontico-ontologique n’est pas une différence entre l’être et l’étant mais une différence entre l’étant et l’étant de l’étant et que ce qui précède la différence ontico-ontologique ne s’objective pas autrement que sous la forme d’un étant.  
 
Heidegger ne distinguait qu'un seul type d'étant, l'étant contingent en oubliant que l'étant nécessaire échappait à sa description de la différence ontico-ontologique. 
 
Souvenons nous de la critique de Bergson, la question pourquoi y a t il quelque chose plutôt que rien ? est mal posée, le néant ne peut précéder l'existence puisque ceci est inconcevable, on ne peut aller du néant à la plénitude puisque quelqu'être est nécessaire c'est à dire qu'au moins un existant est nécessaire. or si quelqu'étant est nécessaire on ne peut voir jaillir en lui un pur surgissement du néant puisqu'il n'y a jamais eu d'apparition dans le temps, nous n'allons pas du vide à la plénitude mais d'une situation où l'être n'est pas différent de l'étant, c'est bien pour cela que la différence ontico-ontologique doit être être repensée de manière métaphysique puisque l'étant dans une partie de sa totalité est nécessaire et non contingent, il peut y avoir donc un rapport entre l'étant dans une partie de sa totalité avec l'homme sans que l'être n'intervienne et ce en pensant que l'autre partie de la totalité de l'étant sont des objectivations de la part de la totalité nécessaire de l'étant. Dans la philosophie de Shopenhauer cette différence ontico ontologique d'origine métaphysique prendra la forme de la volonté et de l'objectivation de la volonté et sera une différence entre l'étant et son sous étant, de même dans la philosophie monothéiste cette différence ontico-ontologique sera la différence entre l'incréé c'est à dire Dieu et le créé, c'est à dire sa création. Puisque l'irruption, le surgissement de l'être n'apparait pas dans l'existant nécessaire et que le surgissement de l'être chez les étants contingents est légitimement ignoré parce qu'étant de toute éternité présent dans l'existant nécessaire, nous pouvons légitimement pensé que la différence ontico-ontologique peut être repensée en différence "ontico-ontique" c'est à dire penser le contingent quand il était encore nécessaire autrement dit dans le langage monothéiste quand la création était encore présente en l'esprit de Dieu et était elle même nécessaire c'est à dire ayant toujours existé. Ce qui signifie finalement que nous pensons -uniquement pour notre recherche- qu'il y a indiscernabilité entre l'être et l'étant. Mais cette différence "ontico-ontique", nom de la différence ontolgique que nous allons analysé dans l'histoire de l'être, s'inscrit dans le temps c'est à dire dans le libre surgissement des choses où il y a être. Et si nous considérons l'être c'est à dire le libre surgissement de ce qui est alors nous n'aurons pas accèder à l'essence de l'étant contingent lorsqu'il n'existait pas de temps, lorsqu'il était nécessaire. Ceci bien sùr ne doit pas nous empécher d'étudier le temps puisque la seule manière dont nous avons d'étudier l'éternité de la création paradoxalement incréé est le déroulement d'une histoire au cours du temps. C'est pourquoi il devient légitime d'étudier des étants contingents en ignorant l'être distinct de l'attribution et en définissant ainsi de nouvelles formes de différences ontico-ontologiques qui sont des différences entre l'étant et le sous étant du même étant. 
 
la différence ontico-ontologique se comprend dans cette philosophie comme la différence entre la totalité relative de l'être qu'est l'étant et une part de son identité qui est un sous étant de l'étant dans la mesure où la part de l'identité de l'étant a son équivalence ontique composée de relations, d'étants et d'actions, vous voyez donc que ce que nous nommons la différence n'est pas celle de Heidegger qui la comprenait autrement comme un étant et une irruption de l'étant, l'être devenant une mise en présence des choses qui n'est pas la chose. Ici nous comprenons que la mise en présence d'un prédicat à la chose est déjà une différence ontico-ontologique dans sa version la plus naive, la mienne. 
 
C'est pourquoi aussi nous irons plus loin et nous distinguerons les différences ontico-ontologiques suivantes : 
 
-l'être et son objectivation en équivalence ontique c'est à dire en relations, existants et actions, mais aussi le concept et son équivalence concrète c'est à dire ce que désigne concrètement le concept dans le réel. 
-la venue de l'être de l'étant au moyen du non laisser être de la chose par la technique, technique incarnée aussi bien chez l'homme que dans la nature, la différence ontico-ontolgique étant la différence entre l'étant et ce qu'il fait être sur un autre étant 
-l'irruption ou le jaillaissement à partir du néant de l'identité d'une chose au cours du temps qui constitue la destinée de l'étant (peu importe qu'être -ou existence- soit avant d'être quelque chose -ou existant- ou que quelque chose soit avant d'être) 
-l'incarnation c'est à dire l'objectivation de l'identité d'une chose dans une autre chose 
-la différence entre l'étant et son attribut 
-la différence entre la nécessité et la contingence 
 
L'être est alors un concept divisé en genres suprêmes nommées catégories tel que le voulait Aristote 
 
Saches que ceux qui se préoccupent de l'être seul ou de l'étant seul négligent le fait que la vie en tant que processus d'objectivation réciproque de l'être en étant et de l'étant en être tend au contrôle de l'étant et que le contrôle de l’étant par l’homme est le calque d’un processus spontané de l’être : celui de la vie. 
 
Prenons le cours d’eau d’une rivière, pensez vous que si l’homme ne détourne pas par des canaux son lit, la nature, elle, ne la détournera pas ? Le vent, les pierres modèlent le cours d’eau qu’est la rivière et inversement la rivière modèle les pierres et la roche, par elle la roche devient ce qu’elle est et par la roche la rivière devient ce qu’elle est. L’homme par la technique est identique au vent et à la roche : il fait être les choses et les transforment en objet et réengendre un objet tout comme l’eau objective la roche et la roche objective l’eau et engendre une autre sorte de rivière. Objectiver c’est partiellerment engendrer un objet, c’est le faire être, quitte à modifier radicalement et de manière irréversible ce que l’on fait être. La roche ne s’auto détermine pas, c’est la force de l’eau qui la détermine tout comme la roche déterminera le chemin que prendra le cours d’eau de la rivière. Objectiver, passer de l’être à l’étant et de l’étant à l’être, c’est le mouvement même de la vie et l’Homme par la technique fait être et est fait. Il réalise la volonté de vivre. Et la venue de l’être passe par ce qui fait être, que l’on nomme action d’être. Le laisser être d’une chose n’est jamais respecté par la nature y compris par la chose elle-même qui se dédouble pour ne pas se laisser être mais pour faire être. 
 
Ce n’est pas la distinction entre l’étant et l’être de l’étant qui est niée, car ce qui est affirmée c’est que cette distinction que l’on nomme différence ontologique n’est rien d’autre qu’une distinction de l’étant avec l’étant de l’étant et que le fondement de cette distinction est la vie ou réalité objective. Et que la vie ou réalité objective n’a son mode d’apparition qu’au moyen de l’étant, de l’étantification, nommée objectivation de la volonté de vivre. Accepter cette vérité c’est jeter les fondements de la lutte contre le nihilisme destructeur et moralisateur pour admettre une autre forme de nihilisme intrinsèquement inévitable : le nihilisme de la vie. Celui du désir de vivre et de se répandre pour vivre et se répandre. L’homme est condamné à désirer la vie. 
 
Et que signifie la venue de l'être de l'étant dont le sens ici -et j'insiste- n'a pas de rapport avec la pensée de Heidegger ? Lorsque justement vous avez saisi les catégories du verbe "est", vous devez comprendre que l'ensemble des objectivations (ou équivalences ontique de l'être) de ces catégories dans le monde réel se rapporte à des existants. La venue de l'être est la compréhension et l'intuition de ces objectivations visées par ces catégories complétées de manière fusionnelle et syncrétique par la compréhension et l'intuition de ces catégories visées par ces objectivations. C'est alors que nous comprenons la réalité d'une autre façon, l'être -le verbe être- n'est pas voilé par l'attraction de l'étant auquel il se rapporte -auquel il est couplé- mais il a une relation fusionnelle et indiscernable avec un étant objectivé lié justement à l'étant couplé à l'être. .. De sorte que précisément vous ne pouvez admettre la différence entre l'être de l'étant d'avec l'étant sans être irrémédiablement obligé d'admettre l'indiscernabilité de l'être avec un autre étant dans une optique hylémorphique : la forme (analogiquement l'être) et la matière (analogiquement l'étant) ne sont pas seulement deux composés mais deux manifestations successives puis indiscernables d'une même chose plus fondamentale : la vie de la réalité objective. 
 
Mais la venue de l’être n’est pas seulement la venue de l’être pour moi mais la venue de l’être en soi et son mode d’apparition en soi. Ce mode échappe à l’intuition mais cette dernière en révèle quelque chose. Ce qu’il faut retenir c’est que si l’acte de l’appréhension d’une chose ne me révélait rien de ce qui est appréhendé en soi, de l’objet en soi, l’acte d’appréhension, l’acte d’intuition, l’expérience de l’objet, la connaissance elle-même, ne serait rien d’autre qu’une pure illusion subjective. Le subjectivisme n’a donc d’intérêt que lorsqu’il assure la connaissance objective. L’intérêt de la phénoménologie réside donc dans son objectivisme. 
 
La modification de la venue de l'être -en tant qu'elle est un paradigme- signifie la modification de la perception de la réalité objective dans le sens où l'information que nous en retenons et notre perception intellectuelle du monde est radicalement enrichie telle que de manière analogique l'intuition des catégories de l'être et de leurs objectivations est plus puissante, plus riche, plus abondante, plus pénétrante, différente, diversifiée : nous accédons peu à peu à la totalité du verbe "est" dans le monde réel. Nous saisissons de plus en plus l'univers qui nous entoure. 
 
Nous disons de plus : l'objectivation des catégories de l'être est un océan d'étant voilés téléologiquement orientés vers un existant. Souvenez vous : lorsque je regarde un poisson -un existant- dans l'eau -un autre existant- je vois le poisson mais j'oublie l'eau : j'oublie l'océan qui tel que cela a été démontré est une objectivation des catégories de l'être de l'étant et en même temps sa condition de possibilité naturelle : il n y a de sens à parler d'un poisson que parce qu'il existe de l'eau. 
 
Le rapport de la modification de la venue de l'être avec la technique n'a de sens évidemment que lorsque l'on comprend que celle-ci s'exerce à terme sur l'homme. Il y a aussi un cercle qui s'accomplit : l'objectivation de l'être en étant implique la connaissance de l'existant. La connaissance de l'existant permet aussi son contrôle. Son contrôle permet sa mutation. Sa mutation permet la variation de la venue de l'être... Qui de manière ultime réside dans l'amélioration de la volonté de vivre. Il n'y a de rapport riche à l'être que dans l'absence d'une sorte de passivité anti-technique face à l'existant. Le dominer c'est le reconnaitre, c'est même parfois le préserver. Parce qu'il est dans la nature même de la vie de maitriser. Là encore la volonté de vivre ne reconnait les objectivations des catégories de l'être -elle ne les vit... Dans un élan vital- qu'en produisant elle même ses propres objectivations. L'ontologie fondamentale est donc -aussi- la confrontation, la relation non passive, des objectivations de l'être de l'étant-homme -qui ne sont rien d'autre que les objectivations de la volonté de vivre- face aux objectivations des catégories de l'être de l'étant. L’ontologie fondamentale réside de plus dans la manière dont la réalité objective produit des objets, des étants qui vont interpeller l’homme et sa relation avec d’autres étants et intervenir dans la relation de l’homme avec l’étant. 
 
Reprenons, répétons. 
 
Le mépris philosophique de l'étant qui consiste à ne pas vouloir modifier la venue de l'être au moyen de la technique a conduit à une contradiction schizophrénique de l'espèce humaine qui ne cesse de condamner la technique -surtout l'homme qui l'a engendrée, l'homme qui en a usée, l'homme qui a voulu encore et encore la développer- alors que la vie a de ceci spontané qu'elle ne cesse de la réclamer et de contrôler l'étant jusqu'à un dépassement fantasmagorique de sa nature. C'est parce que les hommes n'ont pas compris qu'en poursuivant l'objectivation de l'être en étant, ils aboutiraient à une dimension fantasmagorique de l'être à la suite d'une aventure humaine malheureusement potentiellement anéantie parce que philosophiquement méprisée, contradictoirement appliquée puis concrètement avortée ; l'être signifiant ici ce qui vient à vous lorsque vous transformez votre monde, jusqu'à inversement modifier les perspectives de l'ontologie fondamentale, celle de l'homme qui ne peut pas penser pleinement l'être avant d'avoir entièrement contrôler son objectivation jusqu'à ce que précisément ce contrôle puisse entièrement modifier -à terme- la nature de l'être humain d'une part et de la réalité objective d'autre part et la configuration de l'ontologie fondamentale pour ainsi inaugurer une nouvelle venue de l'être 
 
Mépriser l’étant c’est vouloir cesser de le valoriser. Cesser de le valoriser signifie ne plus vouloir le maîtriser. 
 
Le mépris de l'étant signifie la reconnaissance de l'être de l'étant en tant qu'il vient sur nous par l'abandon du contrôle de l'étant qui déploie en lui de manière inéluctablement liée à l'acte même de ce contrôle la venue de l'être puis la venue future de l'être de l'étant transmuté, contrôlé, transformé. C'est précisément parce que l'on contrôle l'étant, l'existant, l'être humain étant lui même existant qu'on peut modifier la venue de l'être vers des perspectives fantasmagoriques que seule l'aventure ontique rend possible. Le mépris de l'étant vient donc de la renonciation à son contrôle pour accueillir l'être de l'étant sans originalité. L'abandon de cette originalité signifie l'abandon de ce qu'implique comme nouvelle venue de l'être de l'étant la soif de contrôle de cet étant, soif naturellement délimitée par l’éthique.. 
 
L'aventure du contrôle de l'étant c'est donc une aventure 1-philosophiquement méprisée 2-contradictoirement semi-appliquée du fait de la nature de la vie mais hésitante au nom d'une éthique dégénérée 3-finalement avortée du fait du triomphe des débiles et des médiocres, c'est à dire l'avortement de ses potentialités 
 
Voilà la chute de la civilisation.  
 
L'aventure du contrôle de l'étant ça pouvait quand même être ceci : 1-philosophiquement approuvée 2-en toute cohérence appliquée 3-En fin de compte finalisée, achevée puis dépassée. L'édification d'une téléologie, la recherche de l'achèvement ou entéléchie de la métaphysique, la recherche de l'achèvement réel de la technique qui en découle car de la totalité de l'étant découle l'aventure de l'homme face à l'étant, l'antidote physico-logique du nihilisme. 
 
Ce qui dans l'ontologie fondamentale a abouti à une destruction des potentialités de l'étant est un refus de l'objectivation de l'être. Et par conséquent une éthique mal comprise de l'homme face à l'étant qui inéluctablement s'achemine face à une passivité nihiliste où l'on regarde la rivière coulée sans en mesurer les potentialités jusqu'à modifier la venue de l'étant et en définitive de l'être à l'homme. C'est précisément qu'au lieu de modifier dans l'existant même, ce qui dans le futur changera la venue de l'être à l'homme, l'Homme -de manière très ascétique- s'est abandonné au nihilisme de la contemplation de cette rivière en face de lui. Ce qui -très concrètement- ne se manifestera que par l'abandon de la finalité ultime de la vie : l'univers fantasmagorique de l'eugénisme qui ouvre une voie mystique-rationnelle pour la vie.  
 
L'objectivation de l'être est freinée par l'éthique qui se dégage de la dénonciation de l'oubli de l'être (celle de Heidegger): l'apparition de l'éthique anti technique et anti eugénique est une manifestation du refus de l'achèvement de la métaphysique et du refus de l'objectivation de l'être de l'étant en étant et en sous-étant, le refus de l’équivalence ontique de l’être qui est un maintien avec le sol fertile de la réalité objective. Voilà la chute de la civilisation. 
 
Enfin voilà quelques mots avant ma mort : Je doute sérieusement que l'intelligence innée des anciens grecs puisse être du même niveau que celle de pittoresques bouses de vache dégénérés. Le monde et l'époque dans laquelle j'ai vécu sont un univers où les Grecs meurent et où les bouseux abondent. Et vous les générations métissées futures nées de cet univers vous serez le résultat de l'immondice de la débilité humaine. Le métissage étant un acte de génocide, d'extinction, d'annihilation, d'anéantissement paradoxalement fait à travers l'acte de donner la vie, et ce parce que si tous les blancs se métissent, il n y a plus que des métisses et il ne reste plus de blancs. Je vis dans un monde abjecte et sordide faits de personnages à la morale gauchiste, totalitaire et nihiliste pitoyable qui ont instauré le génocide de l'intelligence humaine après l'avènement de son extinction philosophique. Aucun être humain ne mesure la souffrance que j'éprouve, enfermé dans une société occidentale puis dans une planète de rats décadente et hostile à mes idées. Et Dieu sait Lui que je vis dans un gouffre de souffrances lorsque j'observe le destin tragique et intellicide de l'espèce humaine. Et nul ne mesure encore cette troublante réalité : ces gauchistes occidentaux bien pensants et anti-racistes étaient non seulement les assassins de la nation blanche c'est à dire des "ethnies" autochtones d'Europe mais aussi les assassins de TOUTE l'espèce humaine. Songez aux merveilles que l'occident a engendré venir s'écrouler sous la pression de l'immigration et des médiocres : quelle infâme abjection. Et il n y a pas de mots assez forts pour montrer mon écoeurement face à l'holocauste de la Nation Blanche. 
 
Finalement la culture occidentale a été tellement imposante, tellement puissante, tellement abondante que les autres cultures se sentent minables et médiocres mais qu'elles essayent de se glorifier en sublimant la médiocrité qu'elles ont apporté à l'ensemble de l'humanité. Plus on critique la civilisation occidentale et plus on fait état de son incommensurable grandeur, proportionnelle au sentiment d'infériorité caché que l'on éprouve en face d'elle. Et n'oubliez jamais cela : je pourrais très bien être raciste dans la vie réelle, il n'en resterait pas moins que mon oeuvre, elle, ne l'est absolument pas. Elle est choquante, véhémente, rationnelle et faussement mystique mais elle ne sera jamais raciste : c'est contraire aux objectifs universels que l'oeuvre dictée par la parole d'un autre s'est donnée pour finalité. 
 
Pour terminer, les médiocres vivent du fruit de l'effort de l'intelligence. Sans les peuples avancés, les idiots ne sont qu'une bouillie d'excréments infâme glorifiée par des altruistes décérébrés. Et la civilisation est en train de mourir. Je vomis les gauchistes et les cafards qui combattront ma philosophie parce que ce sont des génocidaires de la tolérance et de la niaiserie humaniste, les destructeurs de la vie qui réussiront peut être à faire passer l'incroyable charlatanerie historique qu'ils en sont les bâtisseurs. 
Là encore je souffre -d'une souffrance immense- de vivre dans un univers qui rejettera mes idées. Parce que je suis persuadé que mes idées sauveront TOUTE l'humanité. ET sauver l'humanité c'est aussi lui être désagréable.